“Si ce stockage d’informations permet de laisser une trace pour les générations à suivre alors c’est assez sain car l’héritage renforce l’identité des vivants.”
“On meurt quoi qu’il en soit. Ce qui est dangereux n’est pas de vouloir « rester » après sa mort mais plutôt de se soumettre au passé de son vivant.”
Merci à 20 minutes et à Boris Cyrulnik pour cet article aligné sur bien des points avec l’esprit de PostVitam !